Shade Sinks
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 .Le jour où je suis mort.

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Estebann Herrlock

Estebann Herrlock


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MessageSujet: .Le jour où je suis mort.   .Le jour où je suis mort. Icon_minitimeSam 11 Oct - 20:19

.Le jour où je suis mort.
.PV. avec Sarah.




    - HEY! Est’ !!

    J’ouvris la porte dans un courant d’air et sortit en rampant au sol. Mon ami, James, devait se trouver encore dans la discothèque, perdu dans la foule, il devait encore me chercher… J’éclata dans un rire idiot, pourtant, il n’y avait rien de drôle… mais je resta quelques instants dans la petite cour sombre à me rouler à terre… l’alcool sûrement…
    Il faisait froid, un frisson le parcourut la peau, je sentis soudain mon estomac se relever et me pencha sur un pot à fleur vide et commença à vider les tripes… A moitié en train de rire… à moitié en train de vomir.
    Je sais c’est pitoyable, mais l’alcool fait des dégâts… se sont sûrement ces mélanges mauvais pour la santé… pourtant, je ne pouvais m’empêcher d’y tremper les lèvres, et après je devenais drogué de ça… mon corps en redemandait, j’en reprenais… un, deux puis trois… ainsi de suite. J’étais devenu un habitué, et ma routine se faisait de ça, chaque soir après les cours, je sortais en boite avec des potes, la soirée se finissait dans mon lit, la tête tournante par les boissons que je venais d’ingurgiter.
    Je me mis à rire de plus belle, puis m’appuya sur le pot, m’essuya les lèvres et titubant me dirigea vers… nul part. Malgré la vision floue et sombre, je reconnus l’arrière coure de la Disco Fée, le tout était muré, pas de sortie par là, mais je ne pouvais retourner à l’intérieur, James me trouverait et j’en avais nullement l’intention, je savais que j’étais capable de rentrer chez moi seul. Mais il y avait une autre solution…
    J’essaya tant bien que mal de me diriger vers le gros mur, je posa un pied sur le pot, et me souleva mettant tout mon poids sur mes mains accrochées sur la tranche de béton. En équilibre je passa une jambe par-dessus le mur, puis une autre. Je fis la grimace sentant mon estomac se retourner à nouveau. En haut de mon mur, je dégela encore… j’avais beaucoup trop abusé ce soir, ça ne se referait plus. Le fait de vomir me déséquilibra et je tomba au sol sur mon bras dans un bruit sourd. Ma respiration se bloqua un instant et je sentis la douleur sur mon bras m’envahir… Et voilà ce qui arrive lorsque l’on ne fait pas attention… on se fait mal. Je me releva la tête tournant de plus belle et tenta de bouger le bras, je sentis la brûlure et la douleur… j’avais dus me la casser. M’accrochant à ce qui se trouvait à côté de moi, je réussis à me relever. Un rat passa devant moi, je fis la grimace…

    Bravo mon gars… et maintenant, tu fais quoi ?

    J’en sais rien… je ne connaissais même pas cette rue… je marcha donc, au hasard, la tête tournante, fonçant dans les murs… zigzagant dans la rue… impossible de marcher droit…
    Je devais rentrer chez moi… mais c’était où… ? D’ailleurs… avais-je un chez moi ? Ouai… un endroit où dormir… un endroit où je n’allais que très rarement… l’appartement de mes parents… malin… je n’avais jamais réussi à me payer quelque chose moi… faire tout pour l’atteindre… non… j’étais un bon à rien, amateur de vodka et de soirée arrosée de liqueur…
    Non… il fallait que ça se termine… Il n’est jamais trop tard. J’arrêterais de boire… j’arrêterais de passer mes nuits dans la rue et mes matins dans mon lit avec une fille que je ne connaissais même pas.

    J’a me tordis de douleur agrippant mon bars cassé… appuyé sur un mur je poussa un soupire le laissant glisser au sol. J’ouvris les yeux essayant de me changer les idées… impossible, je voyais flou, j’avais la tête dans le cul… j’étais saoul…
    Je grinça des dents puis remarqua des inscriptions au mur, des tags… j’entendis soudain un bruit de rail, et d’un coup je reconnus… j’étais dans une rue derrière la gare, une de ses rues la journée simple avec du monde mais la nuit évité de tout…
    Personne n’était là, j’étais seul, la force m’avait quitté, je ne pouvais me relever…

    Soudain, j’entendis des bruits, j’avais fermé mes yeux, je les réouvris poussant un cri de douleur, je tourna la tête et là à côté de moi se trouvait une femme… Ses cheveux blonds descendaient en cascade sur ses épaules, sa peau était blanche et lisse… elle était belle… jamais je n’avais vu une femme aussi belle…
    Un frisson me parcourut le corps… ses yeux… ils étaient aussi noir que la nuit… je sentis la faim, l’envie et la méchanceté dans ce regard… Elle esquissa un sourire méprisant…
    Soudain j’eus peur… peur de la plus belle créature que je n’avais jamais vu…
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Sarah O'neil
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Sarah O'neil


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MessageSujet: Re: .Le jour où je suis mort.   .Le jour où je suis mort. Icon_minitimeLun 13 Oct - 10:28

Ellana était affamé elle errait dans la gare en quete d'une proie facile et elle avait repérer cette discothèque ou on en sortait toujours bourrer et complètement a coté de la plaque.. Un homme en sorti, rampant au sol, la pitié qui amanait de lui, prit Ellana part la gorge, une pitié qui se transforma tout de suit en un élan soudain d'envie, de méchanceté et de férocité, un élan sauvage, un élan de pur délire pschychique.. Elle qui avait toujours apprit a se controler et a jouer avec ces victimes maintenant elle ne tenait plus, elle avait soif, une soif qui s'attiserait bientot puisqu'elle avait devant les restes décevants d'un jeune papillon en fin de croissance.. Un papillon qui comme elle auparavant avait du gouter au délire de cette planète et y était devenu accros s'enfoncant petit a petit dans les méandres du jeu diabolique du malin .. Elle senti un courant électrique la parcourir, un courant froid, un courant qui l'a poussait a aller tuer ce jeune papillon, elle le savait sa serait son premier vrai papillon, vu qu'il était en fin de croissance.. Mais elle n'avait aucun mérite a tenir de cette pauvre proie vu qu'il était déja bourrer comme elle n'avait jamais vu personne.. Il devait surement etre sorti de la boite pour cuver toute la biere, la vodka et les verres de wiskey qu'il s'était enfiler et qu'il sentait a plus de 100 metres..

Elle n'en pouvait plus elle s'approcha dangereusement de lui elle était habiller d'un tee-shirt moulant et très décolleté avec un slim qui saillait a merveilles ces magnifiques, robustes et sportives cuisses .. Des talons aiguilles très haut réhaussait le tout dans un élan des plus diabolique .. Elle le savait, avec les hommes sont charisme et sa beautée sauvage était insoutenable pour eux et elle le savait celui ci n'allait pas faire long feu ..

Elle marcha donc vers lui se déhanchant, ces talons hauts claquants le sol dans un bruit de pas calme mais assurer, elle arriva a sa hauteur et retourna le pauvre gars, maintenant il avait la tete bien en face d'elle et elle pouvait le regarder dans les yeux, lui aussi d'ailleurs..
Ces magnifiques yeux auxquels personnes ne résistait .. Elle le sentait sa victime commencait a s'abandonner et vu comment il hurlait, il devait cuver tout son alcool assez douloureusement ..

Elle le prit dans ces bras, et le mit debout, elle le regarda, le laissant un peu seul a tenir debout.. Elle le voyait, il commencait petit a petit a s'effacer et recommencait a tomber vers le sol, elle sourit le prit dans ces bras, et l'embrassa, un baiser enflammer, un baiser doux, un baiser chaud, elle touchait ces lèvres froides, elle avait mis ces mains glaciales dans le coup de sa victime.. Quand elle retira ces lèvres et qu'elle le regarda de nouveau elle su qu'il avait gouter au mal, il avait recut une décharge qu'iol n'était pas pres d'oublier et il était devenu accro a elle.. Il allait bientot mourir..
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Estebann Herrlock

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MessageSujet: Re: .Le jour où je suis mort.   .Le jour où je suis mort. Icon_minitimeMer 15 Oct - 23:54

    La belle me prit la tête entre ses mains. D’après le froid glacé, elles auraient dues être glacées elles aussi, mais non, un frisson me parcourut le dos, elles étaient brûlantes, bouillantes… chaudes. Je sentis la chaleur monter en moi, rien que ses mains posées sur mes joues me chauffaient. Je ne m’étais pas rendu compte avoir froid… mais elle ne tarda pas à me réchauffer. Quelques secondes suffire et je sentis, déjà, la transpiration me perler le front.
    Elle ne sembla pas remarquer…
    Je sentis son souffle brûlant me caresser les lèvres mais quelle créature était-ce…
    Elle était la beauté incarnée, la flamme la plus brûlante qu’il puisse existé et je ne tardai pas à comprendre… la méchanceté à l’état pur.
    Soudain, ne me sentis m’élever du sol…
    Comment une femme aussi fine pouvait-elle avoir la force d’un géant ? Je restai, pétrifié de peur entre ses doigts brûlants. Mes jambes branlaient dans le vide mes yeux étaient plongés dans les siens, aussi noir et terrifiant soit-ils…
    Je ne voyais qu’elle… sa silhouette blanche se détacher du noir… ses yeux plus sombre que la nuit… ses lèvres pulpeuses m’appeler… mais je résistais… tout du moins je tentais… cela ne dura pas longtemps, car d’un coup et sans aucune hésitation, elle se rapprocha de moi, à quelques millimètres de ma bouche, je sentis son haleine brûlante me hanter…
    C’était comme un cri qui résonnait dans les entrailles dans mon corps et dans mon esprit…
    Et d’un mouvement vif et gracieux, elle toucha mes lèvres des siennes… je me sentis brûler sur place…
    Mon cœur eut soudain du mal à battre, il ralenti au lieu de suivre ma peur et accélérer… je ferma les eux pris par ce baiser…
    Je sentais ses lèvres charnues sous les miennes…
    Je ne fis rien, elle fit tout… elle m’attrapa la lèvre inférieur de ses dents… un frissons me parcourut le dos, puis le corps, je n’arrivait plus à respirer… je ne sentais rien, seul mes lèvres en feux me brûlaient… même mon bras cassé avait finit par chasser la douleur…
    Le baiser reprit, il fut long… et là, je vis ma vie défiler devant mes yeux…

    On dit que l’on voit sa vie défiler devant soi avant de mourir… je ne me souviens plus de ce que j’en pensait… mais je vous assure que je la voyais… pourtant… je ne mourais pas…
    Non… je me faisais embrasser par la plus belle créature de ma vie…

    Mon cœur ralentit encore… si je continuais à me calmer comme ça, ma tentions allait chuter si bas que je mourrais…
    Les effets de l’alcool avaient disparus… mais je restait pétrifier… les yeux clos, ma vie passait et re passait… ce qu’elle avait été idiote, moi qui étais si sage et généreux avait chuté en quelques semaines… j’étais devenus alcoolique… solitaire… je ne travaillais plus… je ne faisais rien de bon… je jouais… aussi. Moi qui avais toujours dis donner mon argent de trop aux pauvres, je m’étais ruiné pour jouer. Il ne me restait plus que ma guitare et mon appartement. Rien d’autre.

    Le baiser prit soudain fin…

    … j’ouvris mes yeux… ma vie avait finit de défiler devant moi… soudain, une douleur atroce me prit au ventre… que c’était-t-il passé… Je n’avais rien sentis et juste au moment de la fin du baiser… on m’avait… donné un coup… ou griffer je n’en ais trop rien… mais ce qui me semblait le pus probable… c’était le poignardé… je sentais comme une lame dans mon cœur… un vide…

    Je m’étalai au sol… La force m’avait quitter… et la vie faisait de même au même instant… une nouvelle douleur… ne nouvelle lame… dans le dos cette fois… je serra mes mains sur le ventre, mon bras me tordit de douleur, je serra les dents… pourvu que la souffrance s’arrête… pour vu que tout finisse…

    [Tu as le choix… je t’ai aidé en parlant du poignard… mais je ne suis pas sur… en gros fais comme tu veux, mais il faut qu’il meurt… avant tu peux jouer avec lui si Sarah arrive à se retenir de le tuer.]
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Sarah O'neil
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MessageSujet: Re: .Le jour où je suis mort.   .Le jour où je suis mort. Icon_minitimeJeu 16 Oct - 20:46

Sarah regarda quelques minutes sa victime, il avait couté au mal, ces lèvres charnues avaient frolées les siennes puis c'étaient collés contre elle dans un grand baiser .. Un baiser emplis, plus avec de la sauvagerie qu'avec un élan d'amour passionné et de fougue, mais un baiser quand meme, l'alcool a coté de sa, sa devait etre si fade ..
Elle continua de le regarder de haut en bas tous en l'embrassant. Elle le trouvait plutot pas mal, mise a part qu'il allait mourrir, que sa n'était qu'un simple humain ... Mise a part tous sa il était pas mal, assez grand, bien foutu, des cheveux en bataille comme elle aime ^^ ..
Elle attendrait avec impatience de le voir revenir en demon..

Puis le baiser se termina, un baiser sanglant comme on pourrait l'appeller, car Sarah avait, mine de rien, pendant se baiser si enivrant pour un jeune humain et un papillon en fin de croissance, elle avait sortit un poignard.. Un petit poignard qu'elle gardait toujours sur elle au cas ou elle rencontrerait par un pur hasard de jeune papillon bourrer se baladant inconsciemmant dans les rues les plus mal famées de la magnifique petite ville de Genève .. Et oui elle allait mettre fin a la vie misérable de se pauvre jeune homme, en fait plus elle restait a contempler cette épave plus elle se voyait en lui lorsqu'elle était humaine ..
La lame de son poignard était fine et éffilée, un petit bruit signa l'arret de mort du garçon quand elle sortit celle-ci de son étui.. Elle se sentait puissante, ayant le controle de vie ou de mort sur n'importe qu'elle humain.. Mais surtout, surtout, elle avait faim et voir totue ce sang devant elle.. Elle ne pouvait plus tenir... Elle sentait de plus en plus l'odeur enivrante de son sang, lorsqu'elle le trnasperça, aucun bruit n'émana, juste un délicieux parfum sucrée.. Elle retira lentement le poignard et mit sa langue sur la lame, la lame pleine de sang rouge et magnifique, elle se sentait revivre, enfin enfin sa faim s'appaisait ..

Il commenait enfin a s'éffondrer, petit a petit.. Sarah se pencha vers lui et mit sa bouche douce et chaude sur sa plaie, elle suçait lentement son sang retirant petit a petit la vie de se pauvre gars qui avait trainé un peu trop tard dans ces sombres ruelles.. Et oui comme on dit toujours, dans ce monde, c'est la jungle et plus t'es faibles, plus ta de chance de mourir ..
Lui aussi connu sa gloire et maintenant il tombait ..
Adieu jeune garçon continu bien ton chemlin parmi nous ..

Elle se pencha sur l'oreille du garçon et lui chuchota
"Bienvenue parmi nous, continu ton chemin peut etre qu'un jour on se reverra "
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Estebann Herrlock

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MessageSujet: Re: .Le jour où je suis mort.   .Le jour où je suis mort. Icon_minitimeJeu 23 Oct - 13:26

    La force me quittait petit à petit je sentais… mon âme partir… dériver plus loin dans des contrées encore inconnues… j’avais peur oui… je voulais rester… mais la simple idée de voir à nouveau cette déesse magnifique et si effrayante me donnait des frissons.
    Le roula au sol… j’avais été projeté à nouveau…
    Comment pouvait-on souffrir autant ? Je n’en pouvais plus… vivement que ce soit finit. Je réussis à placer une main sur mon cœur, j’ouvris les yeux, pour voir du sang… MON sang… rouge, je baignait dedans… je ne pus m’empêcher d’avoir un haut le cœur… je me vidais de mon sang sur le trottoir d’une rue de Genève. Genève, MA ville, celle où je me sentais en sécurité, celle où je connaissais le moindre recoin… comment se pouvait-il que ce soit là que la fin vienne à moi ?

    Le baissa les yeux pour apercevoir la lame d’un couteau dans mon torse. Je vis aussi la fille… elle se penchait vers moi et retira le poignard.

    Nouvelle douleur, nouveau cri.

    Elle me la planta un peut plus haut.

    Nouvelle douleur nouveau cri.

    Elle se pencha sur moi, un sourire sadique aux lèvre et les posa sur mon torse au sang. Je ne pus réagir… je me sentais partir… et lorsqu’elle me planta la lame dans mon ventre… je ne fis rien. Elle continua à promener ses lèvres sur moi, je ne fis rien. Je ne voulais rien d’autre que la mort. Je voulais partir. Je voulais que tout finisse… pourtant la douleur était là. J’attendais le calme… ce silence qui était la mort… pourtant rien ne vint. Je me sentais partir… mais je restais. Soudain tout se fit trouble. Toute la force me quitta d’un coup… mais je sentais mon cœur battre encore… et là, le calme. La douleur avait disparue… un silence lourd pesant tomba sur moi… et c’est là que je me vis. Elle était là, elle me tuait, et moi j’étais allongé au sol en sang… on aurait dit… mort. Le regard voilé… J’essayai de bouger… mais je n’avais plus de corps. Je n’étais rien. Juste un regard de mort. Un regard qui ne pouvait faire autre chose que de se regarder partir. Alors c’était ça le paradis ? C’était ça l’enfer ? Rien ? Rien ne se passait… je devais attendre… tout le reste du temps ? Toute l’éternité ? Je ne me sentais pas à faire ça tout le temps.

    Soudain, mon regard fut attiré sur mon corps. Ma tueuse c’était mise à genoux et regardait mon corps. Une aura jaune vint se placer dessus… puis commença à tourner… que ce passait-il ? Je vis le sang disparaître… les couteau revenir propre dans la main de sa propriétaire… et mon corps… disparaître lui aussi dans cette poussière dorée.
    Je sentis une rage monter en moi… en même temps, ma vision se fit trouble puis devint noir. C’était fini. J’étais mort. Jeune oui… et mon assassin courra toujours. Aucune preuve… même mon corps avait disparut. Tout de moi… c’était comme si je n’avais jamais été sur terre. Personne ne verra dans les titres des journaux demain « Assassina à coup de couteau, un mort à Genève ». Il faut dire que la criminalité à Genève se fait rare… les disparitions sont pus fréquentes… et j’en ferais partit. Je serais à partir d’aujourd’hui, le jour où je suis mort, devenu un de ces disparut. Voilà comment je suis mort… Une rage soudaine monta en moi contre mon criminel… Pourquoi ? J’avais des projets ! Je voulais devenir quelqu’un de bien. Et elle m’avait tué ! Elle m’avait enlevé la seule chose que je possédais… mon corps. Mon enveloppe charnelle, ma vie. Elle n’avait faite disparaître. Etais-je la seule personne à avoir été sa victime ? Elle n’avait même pas été surprise de la poussière dorée… du sang qui disparaît… c’était elle qui avait fait ça…

    Je ne crois en rien, pour moi, la mort c’est la fin, le noir… et je pensais qu’à la fin je l’assumerais pourtant… je ne sentais même pas le temps passer. Combien de temps étais-je là ? Des millénaires ? Des secondes ? Allez savoir… quoi qu’il en soit… la haine montait… et la patience prenait fin. C’est à ce moment là que je la vis. Cette lueur rouge… cette flamme dansant devant… mon regard… je n’étais même pas quelqu’un je n’avais pas d’yeux mais je la voyais… elle était là… Sa voix se fit grave rauque… mais je n’étais plus rien… Rien ! Je ne pouvais sentir la peur, ni trembler… je ne pouvais même pas la toucher…

    - Tu sembles prêts… c’est pourquoi je suis là… C’est difficile l’éternité lorsque l’on est mort… lorsque l’on est poussière… et encore ! Lorsque l’on est RIEN ! C’est pourquoi, je te propose un marché. Je te rend la vie, l’immortalité… le pouvoir, une nouvelle enveloppe charnelle… et ce que tu voudras… mais en échange… tu devra tu devra devenir l’un des miens. Un soldat sans peur… un soldat parfait… Accepterais-tu ce marcher ? Ho bien sur… je ne t’embêterais pas beaucoup… tu auras de temps à autre des missions… mais je te donnerais toutes les capacités à avoir pour les réussir.

    Le marcher me sembla correcte. Et de toute façon, je ne supporterais pas bien longtemps rester là à attendre. Je voulais refaire ma vie. Je voulais continuer. Je voulais me venger.

    - Tout a bien été rapide avec toi… tu ferras sans aucun doute un soldat puissant… très bien… tu as accepté… ton âme serra bientôt à moi.

    Je n’avais rien dis… après tout… je n’avais ni bouche ni main pour l’exprimé… mais cette « chose » ce « rien » que j’étais l’avait accepté, et la flamme l’avait sentit. Je ne savais qui elle était… mais elle était forte. J’avais accepté… j’allais renaître… j’allais pouvoir refaire ma vie. J’avais accepté.


    Puis… rien. Rien ne se passa… je perdis connaissance.

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